L’Équateur a été une vraie surprise. Je n’attendais rien de ce pays et pourtant, il se hisse à la seconde place de mes pays préférés en Amérique latine, après la Colombie. C’est un petit pays où les distances sont plus réduites. Les trajets entre les différents points d’intérêts ne durent que deux ou trois heures et ça fait tellement du bien ! C’est une destination que je recommande pour un voyage annuel de deux à trois semaines tant la diversité de choses à faire est impressionnante, tout en restant accessible. Je te livre mon itinéraire d’un mois entre l’Équateur et les Galápagos.
Sommaire
Informations pratiques pour voyager en Équateur
| 🪪 Le visa est gratuit pour les séjours de moins de 90 jours. ✈️ Nous avons rejoint l’Équateur en bus depuis la frontière colombienne de Rumichaca. 🕐 Il y a 6h de moins en été et 7h de moins en hiver par rapport à la France. 🍃 De manière générale, le meilleur moment pour voyager en Équateur dans les villes, la zone andine et la côte Pacifique est de mai à décembre, pendant la saison sèche. En revanche, il est préférable d’aller en Amazonie en hiver entre novembre et avril afin d’éviter la pluie. 💉 Aucun vaccin n’est obligatoire pour aller en Équateur mais l’hépatite A est fortement recommandée ainsi que la fièvre jaune, l’hépatite B, la rage ou la typhoïde selon les modalités du séjour. 💳 Les meilleures banques pour retirer sans frais avec nos cartes bancaires étaient Banco del Austro, Produbanco, Banco Internacional . Attention à ne pas accepter la conversion car le taux de change n’est pas bon. Retirez toujours en devises locales ! ☎️ L’indicatif du pays est le +593. On a payé environ 8€ pour un mois et 20 gigas d’utilisation chez Claro. On en trouve dans des boutiques de téléphonie ou même des supérettes. 💰 La monnaie est le dollar américain ($). Nous avons dépensé environ 1000€/pers pour un mois de voyage, sans compter les billets d’avion. 🚌 En Équateur, on se déplace principalement en bus. On peut acheter son billet directement à la gare routière avant le départ, sur internet (Busbud, Redbus), à la réception de son hôtel ou dans une agence de voyage. Le plus économique est bien entendu de se déplacer à la gare soi-même. |
Passer la frontière de la Colombie à l’Équateur
Depuis la Colombie, je me suis rendu à Popayan et j’ai ensuite pris un bus direction Ipiales. Du terminal, j’ai été jusqu’à la frontière colombienne de Rumichaca dans un voiture-taxi. Un autre taxi m’a emmenée de la frontière équatorienne jusqu’au terminal de Tulcan puis j’ai pris le bus jusqu’à Otavalo. Les villes frontières sont assez dangereuses, j’ai donc logé dans un hôtel juste à côté du terminal.
Otavalo & Cuicocha
Cette partie du voyage ne sera pas la plus détaillée car j’étais malade à ce moment-là, probablement à cause de l’altitude. On en a donc profité pour se promener dans la ville d’Otavalo. Il y a plusieurs marchés à découvrir comme celui des ponchos ou celui des animaux. J’ai ramené plein de vêtements bien colorés en souvenir.
Pour faire la boucle de Cuicocha, des bus partent d’Otavalo pour se rendre à Quiroga. Ensuite, des taxis se rendent à l’entrée du parc pour 4$. Ils font aussi le trajet direct depuis Otavalo pour 5$. La randonnée est une boucle de 12,5 km et requiert un niveau intermédiaire avec alternances de montée, plat, et descente. Prévoyez de regarder la météo, on peut vite se retrouver la tête dans les nuages. Ce serait dommage de ne pas profiter complètement de la lagune. Par chance, on a quand même pu avoir une vue dégagée à un moment donné et l’endroit est vraiment magnifique !
Quito, la capitale de l’Équateur
Quito ne nous a pas vraiment charmé. C’est le premier endroit et d’ailleurs le seul de tout le road trip où on s’est senti en insécurité. Même les locaux dans le bus tiennent fermement leur sac placé devant eux. On a vu quelqu’un se faire enlever de force dans une voiture, un autre voler dans un sac à dos. Bref, on ne s’est pas éternisé.
Visiter Quito avec un Freewalkingtour
Nous avons quand même voulu faire un Freewalkingtour avec GuruWalk pour visiter un peu la ville. Ça nous a permis de voir tous les points d’intérêts et d’avoir quelques explications culturelles. On a donc été visiter la Basilica Church, la deuxième plus grande d’Amérique latine, inspirée de Notre-Dame. Il est possible de monter au sommet pour 3$. Des statues d’animaux qui ressemblent à des gargouilles sont perchées sous les toits. Chacun d’eux représente les quatre systèmes d’Équateur : la terre, l’océan, les Andes et l’Amazonie.
On est ensuite passé par la rue des sept croix. D’ailleurs, la dernière croix se trouve en dehors des remparts de la ville et on nous a déconseillé d’y aller.
Plaza grande, Plaza San Francisco sont également au programme avec la visite de la plus vieille brasserie d’Amérique du Sud.
On termine par une dégustation de chocolat chez Yumbo puis de glaces et de bonbons dans le palais Arzobispal.
La mitad del Mundo
Avant de partir, on avait envie d’aller voir la mitad del Mundo. En effet, cet endroit se trouve en plein milieu de la ligne équatoriale, qui divise la planète en deux hémisphères : le Nord et le Sud. Ce petit village touristique permet donc de voir la ligne équatoriale tracée au sol. D’ailleurs, à cet endroit, on trouve des petites tables avec des clous. Ici, la force d’attraction des pôles magnétiques s’annule. C’est peut-être le seul endroit au monde où l’on peut faire tenir un œuf en équilibre sur un clou. Des petites tiendas (supérettes) en vendent pas très loin.
Pour s’y rendre, il faut prendre le bus du terminal Playón de la marin jusqu’au terminal de Ofelia. Puis, un second bus jusqu’à la mitad del Mundo. Le trajet dure une heure et l’entrée vaut 5$.
Mindo, mon coup de cœur en Équateur
🚌 Pour visiter Mindo, il suffit de prendre un bus au terminal Ofelia. Attention, il y a environ quatre bus par jour, pensez donc à regarder les horaires pour ne pas attendre à la gare.
Mindo est une destination mondialement connue pour l’ornithologie. On y trouve une extraordinaire variété d’oiseaux et notamment beaucoup de colibris. De plus, sa cloudforest donne une ambiance un peu mystique à l’endroit. J’aurais aimé rester des jours et des jours tant j’ai trouvé l’atmosphère agréable, hors du temps.
Où observer les oiseaux à Mindo ?
- Le balcon Tumpiki, situé à 8km de la ville est le lieu idéal pour observer les toucans andins le matin.
- Le bio hôtel mindo cloud forest est l’endroit où l’on a séjourné. Tous les matins, les colibris viennent boire dans les abreuvoirs pour oiseaux.
- Le punto ornitologico propose des tours le matin pour observer 90 espèces différentes, le tout pour 15$. De notre côté, on a fait une marche nocturne avec eux. Le night tour s’effectue de 19 à 21h. Le guide était adorable et il m’a même prêté son objectif macro. Pour 12$, on a observé grenouilles, insectes, tortues, araignées et un olingo. Si vous venez aux alentours de 18h, vous verrez plein de colibris. Il y a des petits bouchons d’eau sucrée à disposition. Ils viennent jusque dans nos mains pour boire, c’est un moment magique.
Visiter le jardin des orchidées, incontournable ou pas ?
Le jardin des orchidées n’est clairement pas une visite incontournable. Pour 4$, ça n’en vaut pas la peine. Même s’il y a des centaines d’espèces de plantes différentes, on fait très vite le tour avec la guide qui n’avait pas grand chose à nous apprendre.
Déguster du chocolat chez Yumbos
Vous pouvez également aller chez Yumbos faire une dégustation de chocolat ou simplement prendre un brownie avec un chocolat chaud.
Découvrir un sanctuaire de papillons
Enfin, à Mindo, il y a trois mariposarios. C’est un lieu d’observation des papillons. Nous avons choisi le plus grand, à 3km du centre. Le trajet nous a coûté 3$ en taxi. Un guide nous raconte quelques anecdotes sur les papillons puis on peut visiter l’endroit tout seul. Le tour est vite fait mais les papillons ne sont pas farouches du tout, ils s’accrochent à nous. On a aussi vu plein de chrysalides différentes, toutes plus belles les unes que les autres.
Bref, j’ai vraiment vraiment adoré Mindo. C’est un lieu très apaisant et ressourçant. Il y a plein de petites balades sympa à faire, notamment au chemin des sept cascades. Attention, les distributeurs de la ville ne fonctionnent pas avec les cartes internationales. Prévoyez suffisamment d’argent liquide pour votre séjour à Mindo !
Quilotoa
Le Quilotoa est un volcan d’Équateur culminant à presque 4000 mètres d’altitude, situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Latacunga, capitale de la province de Cotopaxi. On a logé à l’Hostal green lake que je recommande. Pour 25$, il y a petit-déjeuner et dîner compris.
L’entrée de la lagune coûte 2$. Depuis le village de Quilotoa, on marche quelques minutes avant d’avoir un panorama en hauteur sur le cratère. La randonnée pour en faire le tour fait 11 km. Sinon, on peut aussi descendre jusqu’en bas du cratère en 4,5 km A/R.
C’est aussi le lieu de départ pour l’ascension du Cotopaxi. Pour monter en haut du glacier, il faut compter 250$ avec un guide. Il existe cependant une option plus économique : une journée où on allie marche et vélo jusqu’au pied du glacier pour 45$. Demandez conseil à votre hôtel pour effectuer vos réservations. Pour ceux qui souhaitent s’y rendre en autonomie, il faut prendre une jeep dont le coût est de 60$ l’aller-retour.
Baños
Rencontrer des communautés préservées du tourisme de masse en Équateur
Nous voulions absolument rencontrer une communauté indigène préservée du tourisme de masse lors de ce voyage en Équateur. Pour se faire, il fallait se rendre au parc national Yasuni. Le trajet aurait été long et fastidieux, l’équipement rudimentaire et surtout, le prix, affolant (700$ pour 4jours). On a donc abandonné. Soit les communautés vivent déjà du tourisme et nous recherchions quelque chose de plus authentique. Soit elles veulent préserver leurs traditions et s’éloignent de la civilisation. Pour les rencontrer, il faut donc payer le prix cher. Du coup, on a opté pour une journée express à la découverte de l’Amazonie.
Une belle alternative à Puyo
J’étais un peu sceptique au début mais franchement, cette journée valait vraiment le coup. On a réservé cette excursion dans une agence en ville pour 25$. Le but de la journée est de rejoindre Puyo, à 2h de route de Baños. Dans ce village vivent les Wayuri. Lorsque nous arrivons, ils nous enseignent leur façon de vivre. Au programme : tir à la sarbacane, peinture sur le visage avec un fruit nommé achiote, spectacle de danse, dégustation de la chicha (boisson fermentée à base de maïs)…
Le chef du village propose également aux touristes de goûter de gros vers blancs qu’ils mangent vivants. Pour nous, ils les font griller au feu de bois. Toujours est-il que peu de monde semble intéressé.
On quitte la communauté pour rejoindre un mirador avec une vue époustouflante sur la forêt. Il y a même une balançoire dans le vide pour immortaliser l’instant. Après un petit tour de pirogue, le déjeuner et une marche de trente minutes dans la jungle, on arrive à une jolie petite cascade. On termine cette journée par un bon goûter dans une ferme de cacao : chocolat chaud, thé au chocolat et pain de yuka (manioc). On en apprend davantage sur le cacao et la façon dont ils le produisent. Puis c’est le retour à Baños.
Cette journée était un très bel aperçu de l’Amazonie que nous avons par la suite visité en Bolivie. On reste néanmoins sur un tour groupé d’une dizaine de personnes. C’est quand même loin de l’image que nous avions en pensant à des communautés préservées du tourisme de masse. Ici, les locaux sont clairement habitués par notre venue.
Prévoyez du liquide (il faut en plus 1$ pour la communauté, 2$ pour le mirador et 2$ pour la finca de cacao). Prévoir également de l’eau, de la crème solaire & de l’anti-moustique. Pour la marche dans la forêt, le guide prête des bottes.
Les autres activités à Baños
À Baños, le funiculaire près de la cascade Apoyan est un immanquable, pour seulement 2$ l’aller-retour. Bon, l’installation est un peu flippante, mais tout s’est bien passé ! Un taxi vous y emmènera pour 3$ l’allée car c’est à 7km du centre-ville. Vous pouvez aussi faire la route des cascades à vélo. Sinon, des taxis font des tours organisés de trois heures avec arrêt à chaque cascade.
Pour trouver des balançoires avec une vue verdoyante bien sympa, rendez-vous à la Casa del Arbol. Des bus, indiqués sur Maps.me, partent de la ville. L’entrée coûte 1$. Pour nous, ce jour-là, il y avait du monde et beaucoup de brume. Par contre, en redescendant sur le chemin des belvédères, on a trouvé de jolies balançoires. Il n’y avait personne et la vue était très belle.
Enfin, on trouve des thermes à Baños, ouvertes en journée (3$) et en soirée (4$). Elles ferment à 21h. Les bassins sont au pied d’une cascade, les températures varient entre 38 et 42 degrés. Il y a également un bassin d’eau froide. Le bonnet de bain est obligatoire mais on peut l’acheter sur place.
Un volontariat à Paseo de los monos
À Puyo, on a décidé d’aller travailler quelques jours dans un refuge au Paseo de los monos. Ici, on trouve principalement des singes : écureuils, araignées, hurleurs, chorongos, capucins… Il y a aussi des coatis, des serpents, des oiseaux et parfois, un ocelot. Les singes sont pour la plupart en liberté. Ils vivent au refuge car ils y sont nourris mais peuvent aller et venir dans la forêt. Ces animaux sont placés ici par le ministère de l’environnement et sont donc tous contrôlés et vaccinés. Ce sont pour la plupart d’anciens animaux de compagnie et l’État les récupère afin d’assurer leur protection. Ils ne sont plus sauvages et ne peuvent plus retourner dans leur habitat naturel. Certains, cependant, peuvent être réintroduits. Dans ces cas-là, ils sont dans des cages en attendant d’être capable de rejoindre la nature et le contact avec l’homme dans le centre est prohibé.
Comment réserver ce volontariat en Équateur ?
Pour réserver, j’ai contacté la propriétaire sur Facebook. Il y a toujours de la disponibilité, donc pas besoin de s’y prendre trop à l’avance. Pour contribuer aux repas et entretien de la maison, elle demande une participation de 20$/jour ou 130$ la semaine. Les trois repas sont inclus ainsi que le logement et le prêt des bottes pour travailler. On dort dans des chambres dortoirs.
Les tâches au sein du volontariat
Les tâches dans la journée sont réparties en trois catégories : la nutrition soit la préparation de la nourriture pour tous les pensionnaires ; l’infirmerie ; et toutes les autres tâches (rangement, nettoyage etc). J’ai été assignée à l’infirmerie et je devais donner le biberon aux plus petits. J’ai dû préparer les médicaments pour les blessés et leur donner à l’aide d’une pipette. C’était un moment d’interaction incroyable. Concernant toutes les autres tâches, ça peut être du nettoyage, de l’entretien pour les cages, de l’aménagement, du jardinage, la préparation du repas pour tous les travailleurs… Ça tourne chaque jour.
Un cadre exceptionnel mais un manque d’hygiène considérable
Le rythme de travail n’est pas très dur, avec de nombreuses pauses durant la journée. La patronne est vraiment très gentille. Seulement voilà, quelques points négatifs qui ont fait que nous ne sommes restés que deux jours au lieu d’une semaine. Tout manque cruellement d’organisation, nous étions une quinzaine de volontaires et tout le monde brassait à la recherche de quelque chose à faire. La propreté à l’intérieur de la grande maison était plus que médiocre. Il y avait plusieurs étages avec différentes chambres et salles de bain. Tout le monde entrait avec ses bottes pleines de boue, le sol était sale et rarement nettoyé. Il y avait des cafards à l’étage. Les balcons étaient aménagés pour accueillir des singes blessés qui devaient être isolés. Bref, ça aurait vraiment pu être une expérience de rêve mais l’hygiène laisse beaucoup trop à désirer au sein de la maison.
Cuenca
🚌 Pour se rendre à Cuenca depuis Baños, j’ai pris un bus jusqu’à Riobamba (2h) puis un autre jusqu’à Cuenca (7h). Il y a des directs pour 11$ mais seulement à 8h45 et 23h30.
Cuenca, en Équateur, est une jolie petite ville cosmopolite où il fait bon vivre. Je conseille d’aller sur la terrasse de l’Église Santa Ana pour avoir un premier aperçu et une belle vue. L’entrée coûte 2$.
La Plaza de las flores vaut aussi le détour. En marchant un peu en direction de la gare routière, on trouve le musée Homero Ortega dont l’entrée est gratuite. Ils ont une boutique qui permet l’achat de chapeaux du Panama.
| 💡D’ailleurs, pour la petite anecdote, la construction du canal de Panama a provoqué une forte demande de chapeau de paille pour protéger les travailleurs du soleil. Les gens ont alors cru qu’il s’agissait du lieu de fabrication alors que ces chapeaux proviennent d’Équateur. Les premières exportations se font en 1890 à travers la cordillère andine. Entre 1944 & 46, il devient le premier produit d’exportation équatorien, créant 250 000 emplois. |
Où manger à Cuenca ?
Le marché 10 de Agosto est parfait pour goûter au plateau Hornado, un cochon braisé entier, ou pour boire un jus de fruit pressé. Partout, dans les rues, on découvre aussi une spécialité curieuse. Ça ressemble à de la glace, souvent rose ou blanche, avec des cornets posés juste à côté. Pourtant, la glace est sur un étal et ne fond pas. Il s’agit en réalité d’une sorte de guimauve que je n’ai pas eu l’occasion de goûter.
On a par contre mangé au Bistrot Français, Calle Santa Ana. Après autant de temps passé hors de France, je dois dire que j’étais vraiment heureuse de retrouver une baguette et de manger une tartiflette !! Et pour le dessert, je vous propose la Chocolatería Dos Chorreras. C’est un peu cher mais la déco à l’intérieur est magnifique et les gaufres sont délicieuses.
Les îles Galápagos
Pour se rendre aux Galápagos, le plus simple est de prendre l’avion à Guayaquil. Je ne conseille pas de rester dans cette ville. Je l’ai trouvée sans charme et pas très safe d’apparence avec beaucoup de drogués le soir dans la rue. Pour plus d’informations sur les Galápagos, voici le lien de mon article dédié.
Conclusion
L’Équateur est un pays très varié qui mérite davantage d’être mis en lumière. Au programme : ascension de volcans enneigés, découverte de l’Amazonie, incroyable biodiversité et visite de villages coloniaux. L’Équateur est une destination riche pour les amateurs de nature, de culture ou d’animaux.
Pour vous aider à organiser votre voyage en Équateur, n’hésitez pas à consulter mon article sur l’organisation d’un voyage de 8 mois en Amérique latine. J’espère que cet article t’aura aider à préparer ton voyage dans ce pays si boudé des voyageurs. Si tu as des questions, n’hésite pas à les poser dans la section commentaire ou à m’écrire sur Instagram. À bientôt sur le site !
Voyage réalisé en avril 2022
