Découvre le guide ultime pour organiser ton voyage de plusieurs jours à Tokyo à travers les quartiers les plus emblématiques de la ville. J’y ai passé cinq jours mais on peut facilement rester une semaine dans cette ville bouillonnante. À la différence de Kyoto qui est une ville plus traditionnelle, la capitale est contrastée entre coutume et modernité. Beaucoup d’activités sont gratuites alors n’hésite pas à t’inspirer pour ton prochain voyage à Tokyo.
J1 : Shibuya, Harajuku & Shinjuku
J2 : Akasaka, Akihabara
J3 : Ueno et ses alentours, Asakusa
J4 : Ginza, Tsukiji et Gotoku-ji
J5 : Tokyo Tower, ancien palais impérial, Toshima
Comment se déplacer à Tokyo ?
Le métro est la meilleure façon de se déplacer à Tokyo. Vous pouvez acheter une carte Suica soit en physique aux bornes en arrivant à l’aéroport ou à la première gare ; soit directement sur votre téléphone. Il est aussi possible d’acheter un Tokyo Metro Pass, valable trois jours pour 1500 ¥. Il sera très vite rentable. En revanche, il ne s’utilise que sur les lignes avec le sigle G et non celles avec le sigle JY. Mais ça permet quand même de réduire les coûts. Il est aussi possible de l’acheter sur le site Jr puis de scanner le QR code obtenu sur les bornes des stations de métro.
Rejoindre le centre-ville depuis l’aéroport
Le mieux est d’acheter sa carte Suica directement puis de prendre le monorail jusqu’à Hamamatsucho (520 ¥) et enfin le métro jusqu’à son logement.
Sommaire
Shibuya



Tokyo Famous Crossing
Shibuya est un quartier vibrant, connu pour son célèbre passage piéton qui voit passer 2,4 millions de personnes chaque jour. De quoi être dépaysé directement à l’arrivée. Pour observer le phénomène en prenant un peu de hauteur, il y a plusieurs options.
- le Starbuck : c’est vite pris d’assaut mais on a pu monter pour regarder rapidement sans même consommer.
- le bâtiment Shibuya Scramble Square : il suffit simplement d’entrer et de prendre l’ascenseur jusqu’au 14 étage. Là, on peut avoir une vue directement sur la gauche. Sinon, il faut aller au café 5 crossties coffee et payer une consommation.
- le centre commercial Magnet by Shibuya 109 : dans ce cas là, il faut monter au dernier étage et payer l’équivalent de 10€/pers, boissons comprises pour une durée illimitée.
- le 11ème étage du bâtiment Hirakie : l’option est gratuite.
- Shibuya Sky : on peut acheter ses billets sur place sous réserve de disponibilités ou tout simplement réserver en ligne à l’avance. Comptez 2500 ¥.
Hachikō
Le passage piéton n’est pas le seul emblème du quartier. En effet, on trouve aussi une statue à l’effigie du chien Hachikō soit l’animal le plus fidèle au monde. Pendant dix ans, il aurait attendu son maître à la gare alors que celui-ci était mort au travail d’une hémorragie cérébrale. La statue se trouve juste à côté du passage piéton, du côté situé en face du Starbuck. On peut aussi voir une animation en 3D toutes les heures au niveau du grand carrefour de Shibuya, de la place de la statue et du gratte-ciel Shibuya Hikarie.
Pokemon & Nintendo Shop
On termine la visite par quelques classiques situés au sixième étage d’un centre commercial : le Pokémon Center, Nintendo et Jump Shop. Ce dernier est réservé aux mangas comme Naruto mais il faut se procurer un ticket pour y accéder ou revenir après 17h. De quoi retomber en enfance ou acheter quelques souvenirs pour les fans.
Vous verrez aussi des gens défiler en kart, déguisés en Mario ou Yoshi dans les rues de Tokyo. Pour cette activité, il faut obligatoirement une traduction japonaise de son permis de conduire.
Les bonnes adresses :
On a goûté de très bons ramens ici, dans un restaurant qui n’a pas de nom anglais, juste à côté de Ikkakuya.
Harajuku


Ici, ambiance cosplay et kawaii assurée. Kawaii qui signifie mignonnerie. On trouve des gens costumés, des gachapon (magasins de boules surprises), des purikura (photomatons qui vous transformeront en personnage de dessin animé) et des cafés à thèmes. Notamment des cafés avec différents animaux (chats, chiens, loutres, hiboux, cochons), ils ont malheureusement pensés à tout… Sur Takeshita Street et les rues voisines, vous pourrez apercevoir tout ça et bien plus encore. C’est un endroit prisé pour les animés mais on trouve aussi des boutiques de souvenirs, des crêperies et d’autres spécialités japonaises à tester sur le pouce.
On passe rapidement par Omotesando, l’équivalent des champs-Élysées de Tokyo et notamment par Kiddy Land, un magasin de jouets sur plusieurs étages à l’effigie des studios Ghibli, Mario, Pokémon, Snoopy, Star Wars et j’en passe…


Enfin, le temple Meiji Jingu au parc Yoyogi mérite le détour. L’entrée est gratuite. Sur place, et comme dans chaque temple, on voit un grand torii qui nous accueille. Il s’agit d’un portail érigé à l’entrée d’un sanctuaire shintoïste afin de séparer l’enceinte sacrée du reste. On trouve sur place des sakadaru, soit des tonneaux destinés au stockage du saké, l’alcool de riz traditionnel japonais. Saké qui veut dire littéralement « boisson alcoolisée » en japonais.
Shinjuku


On a visité ce quartier de nuit et c’est vraiment idéal avec les néons et les panneaux publicitaires illuminés, les petites ruelles aux lanternes etc. Voici les différents endroits à ne pas louper :
- Omoide-Yokocho (aussi appelé Yakitori Alley ou Memory Lane) est une petite ruelle qui abrite de nombreux izakayas, ces petits bistrots japonais où l’on mange au comptoir. La spécialité est le yakitori, une brochette de viande cuite sur le grill.
- Kakubicho street est une avenue avec plein de boutiques et restaurants et de grands panneaux publicitaires. C’est un peu l’image que je me faisais du Japon avant d’y aller. Il y a la fameuse tête de Godzilla à voir au niveau de Central Road ainsi que l’animation du chat en 3D situé au niveau de la sortie Shinjuku A9 (sur Google Maps).
- Chuo street est aussi une rue sympa où on trouve d’ailleurs le restaurant Kani Doraku pas très loin, avec son crabe géant.
- Depuis les tours du Metropolitan Government Office, on peut avoir une vue gratuite sur la ville. C’est ouvert de 9h à 17h en semaine. Il y a d’ailleurs des illuminations chaque soir. Le Guinness World Records a certifié l’attraction, appelée Tokyo Night and Light, comme étant la plus grande projection architecturale permanente.
- Golden Gai est un ensemble de petites ruelles avec différents bars. Ambiance intimiste assurée.





Les bonnes adresses :
Pour goûter un curry japonais, on a testé la chaîne Curry House Coco et c’était délicieux. Environ 1000 ¥ le plat.
💡Au niveau de Kakubicho Ichibangai, on voit des filles et des garçons « à louer ». Ils proposent un service de compagnie aux gens pendant un temps donné où ils font la conversation avec leurs clients, jouent à des jeux etc. Dans les rues parallèles, on a vu des rabatteurs qui, eux, avaient l’air de proposer des services un peu plus sombres. |
Akasaka



Pour tous les fans d’Harry Potter, c’est un incontournable à ne surtout pas manquer. En sortant du métro, on tombe directement sur des décorations à l’effigie du célèbre sorcier, avec une petite musique qui nous met directement dans l’ambiance. Il y a un café qui ressemble à la salle à manger principale du film mais il vaut mieux réserver à l’avance, surtout le week-end. Dans le village, il y a une boutique de souvenirs ainsi qu’un autre magasin où l’on peut acheter des donuts avec le topping de la maison de son choix : alors plutôt Gryffondor, Serdaigle, Poufsouffle ou Serpentard ?
Le quartier d’Akasaka accueille aussi une comédie musicale Harry Potter and the Cursed Child. Le show est en japonais mais un service de sous-titres est disponible.
Les bonnes adresses :
On a testé des onigiris dans le sous-sol du centre commercial situé dans le village. Le nom du restaurant est en japonais mais ils étaient vraiment excellents !
Akihabara



Ici, c’est le quartier des mangas, des animés et de l’électronique ! Le magasin Super Potato nous a ramené en enfance. C’est l’endroit où il faut aller pour tous les nostalgiques des premières Nintendo ou pour dénicher n’importe quel jeu de console. Il y a aussi des jeux d’arcade, des salles dédiées aux gamers et des maids café. C’est une attraction très populaire au Japon. Ce sont de jeunes serveuses en costume de soubrette qui ressemblent à des personnages fictifs de manga. Elles proposent des services de divertissement au sein d’un café comme faire la conversation, animer une soirée en servant les boissons etc. Il y a différentes formules et les prix sont aux alentours de 3000 ¥ avec une maid qui parle anglais, nourriture incluse.


J’ai aussi beaucoup aimé aller jusqu’au temple Kanda Miyojin. Il est très beau et il y a souvent des artistes qui dessinent sur les ema, ces petites tablettes en bois qui servent à écrire un souhait. À côté, on trouve le temple Yushima Seido mais il était fermé à ce moment là (17h) donc je n’ai pas pu le visiter.
Les bonnes adresses :
- Hama Zuchi, une chaîne de sushis avec tapis roulant. On commande sur un iPad tout le long du repas et les plateaux arrivent 30 secondes plus tard et s’arrêtent pile poil devant vous ! Pour 21 sushis (soit 9 assiettes) et une boisson, j’ai payé 13€. En revanche, j’ai du attendre 1h30 avant d’être installée.
- À quelques arrêts de métro, on trouve le Dawn Cafe. Il s’agit d’un café animé par des robots. Pas n’importe quels robots, ceux là sont pilotés à distance par des personnes en situation de handicap. Une expérience pour le moins inédite ! Pour profiter du service robotique, il faut payer des frais d’admission de 1500 ¥, boisson fraîche ou thé inclus. Sinon, on peut simplement s’installer au comptoir et profiter du spectacle sans interagir avec eux. À l’accueil, on est d’abord accueilli par un robot. Puis, il y en a un à chaque table qui fait la conversation aux clients. D’autres sont là pour servir les boissons ou encore préparer le café. Attention, le café est fermé le jeudi.


Ueno et ses environs
J’ai commencé la balade par le sanctuaire de Nezu-jinja car c’est l’un des seuls à Tokyo à avoir des torii. C’était un dimanche et on a vu plein de familles faire des photos en kimono. Ce temple est dédié au renard, messager de la divinité Inari, vénérée pour la fertilité, la naissance et l’annonce de certains dangers.



Ensuite, direction le parc Ueno en passant par le quartier tranquille de Yanaka et en empruntant la rue Yanaka Ginza. Le parc n’est pas un incontournable si vous n’avez que quelques jours sur place. Cela dit, au printemps, c’est un excellent spot d’observation des fleurs de cerisiers, les sakuras. On peut faire du pédalo sur le lac et il y a différents temples à visiter. On retiendra Hanazono Inari-jinja, un autre temple dédié à Inari avec des torii ; et Kiyomizu Kannon-dō. Celui-ci est visité pour son arbre façonné comme une fenêtre.


Près du métro au sud du parc, Ameyoko street est une rue sympa à faire. On a mangé une glace au sésame noire délicieuse, juste à côté du Tea House.
Asakusa



Asakusa est l’un de mes endroits préférés à Tokyo ! Tout d’abord, on peut avoir une vue gratuite sur la Sky Tree Tower en montant sur la terrasse de l’office du tourisme. Il est ouvert de 9h à 22h. Ensuite, la rue Nakamise-dori est parfaite pour ramener quelques souvenirs typiques du Japon. Dans cette rue, vous pourrez goûter des crêpes au thé matcha, fourrées à la crème brulée. Ça avait l’air délicieux. Au bout de cette rue se situe le temple Senso-ji, le plus beau que j’ai pu voir à Tokyo. En revanche, il y a énormément de monde donc pour éviter la foule, il faut venir tôt le matin. C’est d’ailleurs le temple bouddhiste le plus vieux de Tokyo. Il y a plein de japonaises parées de kimono, c’est l’endroit parfait pour faire des photos.
Pour les professionnels de la cuisine ou tout simplement pour ramener un beau couteau japonais, c’est du côté de Kappabashi-dori que ça se passe et notamment la boutique Tsubaya World. La qualité des couteaux japonais est incomparable et il y en a pour tous les prix. Ça commence à partir de 90€ et ça peut monter assez haut. En revanche, c’est beaucoup moins cher que des couteaux japonais achetés en France.


Sky Tree Tower
De là, on peut marcher ou prendre le métro jusqu’à la Sky Tree Tower et avoir une vue panoramique sur tout Tokyo. Elle est ouverte tous les jours de 11h à 20h et même 21h du vendredi au dimanche inclus et le tarif est de 2000 ¥. Aux pieds de la tour, on trouve un distributeur de gâteaux, Okashi Gaku. Servis dans une canette, ce sont des sortes de charlottes à différents goûts. Ils avaient l’air délicieux mais un peu chers : 1080 ¥ la pièce.
Les bonnes adresses :
- Ben’s Cookie, de délicieux cookies à 370 pièce ¥
- Hat Coffee pour des cafés avec de beaux dessins 3D dans de la mousse de lait
Ginza et Tsukiji
Ginza


Pour se rendre au marché aux poissons de Tsukiji, j’ai décidé de m’arrêter à l’arrêt de métro de Yurakucho (ou Ginza selon d’où vous venez) afin de profiter de Ginza. C’est un quartier luxueux avec des bâtiments au design original conçus par des architectes japonais. Les plus beaux sont ceux de Louis Vuitton, Mikimoto, MCM, Nissan et Tasaki.
Les bonnes adresses :
- Si vous aimez les mochis, il faut absolument aller à Kanadaya Ginza. Ils sont absolument incroyables, sur deux étages, avec différentes garnitures au choix, entre 800 et 1100 ¥ pièce.
Tsukiji

Après une vingtaine de minutes de marche, voici l’ancien marché aux poissons de Tsukiji. En effet, le marché a été délocalisé à Toyosu depuis les JO de 2020. C’est le plus grand marché aux poissons du monde avec plus de 400 espèces disponibles à la vente. Maintenant, on trouve principalement des stands de street food dans une bonne ambiance locale. Bœuf wagyu, anguille fumée, langues d’oursin, king crab, sushis ou encore coquillages ; on trouve de tout dans ce marché. Les prix sont certainement plus élevés qu’ailleurs mais l’endroit reste très authentique. Certains shops vendent leur brochette de wagyu à 5000 ¥. Je vous conseille quand même de venir tôt pour éviter la foule et la queue aux différents stands.
Fun fact : j’ai vu Steve Aoki, le célèbre DJ américain d’origine japonaise, se promener dans ce marché !


💡Savais-tu que le mot wagyu signifie en fait bœuf en japonais. En réalité, le wagyu c’est l’ensemble des races bovines japonaises. On distingue la qualité du bœuf grâce à son grade ; A5 étant la plus élevée, c’est-à-dire la plus grasse et la plus persillée. |
La vente aux enchères de Tsukiji
Il est possible d’assister à la vente aux enchères des thons chaque matin aux alentours de 4h. Il faut donc se lever très tôt et trouver une alternative pour s’y rendre car à cette heure là, les métros ne sont pas encore en marche. Pour avoir la location exacte, il faut taper « fish information center » sur Google Maps. En 2019, un thon rouge de 278 kilos s’est vendu à un prix record de 2,7 millions d’euros !
Pour ceux qui souhaiteraient visiter le nouveau marché de Toyosu, visiblement, c’est un peu impersonnel. On visite le marché sur une passerelle, derrière des baies vitrées, ce qui n’a pas grand intérêt. En revanche, c’est l’endroit idéal pour déguster de délicieux sushis préparés par des maîtres sushis juste devant vos yeux !
Gotoku-ji, un temple de Tokyo dédié aux chats


Gotoku-ji est un temple dédié aux chats, symbole de richesse et de prospérité ! C’est un des plus beaux qu’on ait vu avec Senso-ji, Meiji Jingu et Kanda Miyojin. En revanche, il est un peu loin du centre-ville, 40 minutes à 1h de transport selon où l’on est.
On trouve des centaines de statuettes Maneki Neko et l’on peut d’ailleurs en acheter une pour la garder ou la déposer dans le temple tout en inscrivant un souhait. C’est limité à une statuette par personne.
Dans le village, on peut pousser la mignonnerie en allant déguster un biscuit en forme de chat, fourré à la crème pâtissière chez Rarasand. Il en existe à différents parfums.
Tokyo Tower


La tour de Tokyo est très photogénique, et particulièrement la nuit car elle scintille de mille feux. Vous pouvez prendre un peu de hauteur à l’observation deck pour avoir une vue sur la ville, à partir de 1500 ¥. À l’intérieur du parc Shiba, on trouve le Zozoji temple. Il s’agit d’un temple rempli de statues censées protéger la croissance des enfants et commémorer les morts-nés et les enfants avortés. Elles portent toutes des bonnets, pour que les enfants n’aient pas froid.
Ancien palais impérial
Dans l’arrondissement de Chiyoda, on trouve l’ancien palais impérial de Tokyo. Renseignez-vous bien sur les horaires car il est souvent fermé les mardis et vendredis, soit le jour où nous avons voulu le visiter. On peut notamment voir le Kōkyo soit la résidence actuelle de l’Empereur, les jardins de Nimomaru ou encore le Hie Jinja Shrine, un temple avec un joli chemin de torii.
Quartier de Toshima
Pour terminer ce séjour, vous pouvez visiter ce quartier tranquille, loin de l’agitation des endroits plus animés de la ville. Il est notamment connu pour son spot iconique, que l’on voit partout sur les réseaux sociaux : la Shiinamachi station. Le point de vue est bien visible depuis le pont d’Owada.
Plus de temps ?
Voici quelques alternatives que j’aurais bien voulu essayer si j’avais eu plus de temps à Tokyo :
- Assister à un combat de sumo. Ils ont lieu durant les mois de janvier, mai et septembre à Tokyo. Il faut réserver les billets sur le site officiel deux mois à l’avance et compter environ 60€ pour une place. Il est même possible de se rendre aux entraînements, sous certaines conditions. Ce site explique bien les différentes démarches à effectuer.
- Visiter le musée Ghibli pour les connaisseurs du studio d’animation japonais. On ne peut pas acheter de billets sur place, il faut absolument réserver avant.
- Se rendre au parc à thème d’Harry Potter (Warner Bros. Studio Tour Tokyo – The Making of Harry Potter), la plus grande attraction intérieure au monde consacrée au sorcier. Le billet adulte coûte 6300 ¥ et les billets doivent s’acheter en ligne en amont.
- Aller au musée sensoriel de Teamlab. On trouve ce type de musée seulement à Tokyo et Los Angeles. Il s’agit de salles d’expositions photogéniques et colorées avec des jeux de lumières, de sons et de textures. À Tokyo, il en a deux : Teamlab Planets et Teamlab Borderless. Le premier est temporaire et semble un peu plus prisé. Dans tous les cas, il faut réserver plusieurs semaines à l’avance.
Voyage réalisé en octobre 2024